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Réseau Européen des sites et des chemins de  Saint Michel

Accueil / LA CROIX 6/6 Le Mont-Carmel (Israël)

L’épée de saint Michel (6/6)

À la recherche de saint Michel sur le mont Carmel

Cécile Lemoine

Cette semaine, le mont Carmel, en Terre sainte, indiqué comme la pointe de l’épée et pourtant dépourvu de toute église ou tout culte à l’archange.

Haïfa (Israël) De notre envoyée spéciale

Étrange, cette histoire de monastère dédié à saint Michel à Haïfa… On m’a commandé l’écriture du dernier épisode de la série sur la ligne de saint Michel – cet intrigant alignement de sept sanctuaires dédiés à l’archange dans le monde – mais, après deux ans en Terre sainte, je n’ai jamais entendu parler d’un tel endroit. Sur Internet, les mots-clés « ligne de saint Michel Haïfa » ne sont pas très fructueux. Si les ­articles s’épanchent sur l’histoire et la ­localisation des six sanctuaires michaéliques en Europe, ils se font plus flous sur le septième et dernier point en Terre sainte.

Ce sont ainsi un « monastère du mont Carmel à Haïfa », « le monastère carmélitain de Stella Maris à Haïfa » ou encore un vague « monastère du Carmel » qui sont tour à tour mentionnés. Un manque de précision qui devient criant quand ces mêmes articles estiment que « l’endroit » est « rapidement devenu un lieu de culte dédié à saint Michel l’archange », sans citer aucune source historique. Y a-t-il, ou pas, une dévotion particulière à saint Michel au mont Carmel ?

Un voyage, pour désépaissir le mystère, s’impose. Destination : Haïfa. Dans cette ville portuaire du nord de l’État d’Israël, on trouve bien un monastère, baptisé Stella Maris. Accroché aux pentes du mont Carmel qui s’enfonce dans les eaux saphir de la Méditerranée, le sanctuaire appartient à l’ordre du Carmel, fondé en Terre sainte par quelques pieux ermites au moment des croisades, à la fin du XIIe siècle.

Dans l’église, intime malgré la richesse de ses marbres blancs italiens, nulle trace de saint Michel. Pas même une peinture. « Aux dernières nouvelles, il n’y a pas de lien au sens strict avec l’archange ici », s’amuse le père Jean Emmanuel de Ena. Carme français et ancien professeur, il a été envoyé il y a neuf mois en Terre sainte. Il découvre l’existence de la ligne de saint Michel et est intrigué par son raccordement au monastère Stella Maris : « Ici c’est plutôt du prophète Élie, notre père, qu’on se souvient. »

L’autel de l’église a été construit au-dessus d’une grotte, la « grotte d’Élie ». Les carmes estiment que ce prophète de l’Ancien Testament, figure centrale de leur spiritualité, y aurait séjourné. Le lien avec saint Michel semble plus ténu que jamais. Alors que la dévotion envers l’archange est très développée en Occident – et que la Normande que je suis se fait ­toujours une fierté de rappeler que le Mont-Saint-Michel est normand –, les chrétiens de Terre sainte ne se sont pas approprié cette figure, même si les anges sont très présents dans leurs liturgies. Leur culte s’est développé à l’époque byzantine (IVe-VIe siècle apr. J.-C.), en association avec celui des martyrs et des reliques.

 

Une manière de compenser l’incorporéité des anges. « Le faible succès de la dévotion michaélique en Terre sainte » s’explique, selon le savant belge Ugo Zanetti, par le fait que « la région possédait de nombreuses autres reliques importantes, dont certaines du Christ ».

De fait, les églises et paroisses baptisées sous le patronage de l’archange se comptent sur les doigts de la main en Terre sainte. « En Orient, la figure importante est saint Georges, note le père de Ena. Lui aussi terrasse un dragon. Il n’y a pas une église orientale qui ne dispose d’une icône de ce saint local. »

Alors pourquoi avoir placé le dernier point de ladite « épée de saint Michel » en Terre sainte ? Et pourquoi dans ce décor, qui semble avant tout associé aux péripéties du prophète Élie ? « Cela fait sens de terminer en Terre sainte. Après tout, c’est là que le christianisme est né, que Dieu s’est incarné. C’est une manière de lier l’Orient et l’Occident », estime le carme. Quant au mont ­Carmel…

C’est une carte qui va mettre le religieux sur une nouvelle piste. Accessible partout sur Internet sans que son origine soit jamais précisée, elle s’intitule « Axe d’Apollon/Saint Michel » (1). Elle localise chaque monastère sur une ligne complétée par trois sanctuaires grecs dédiés au dieu du soleil Apollon. La droite passe par le mont Carmel. Un autre toponyme a été ajouté à côté : « Armageddon ». Tout s’aligne – dans l’esprit du carme, du moins : « Venez au monastère Deir Al-Muharraq, vous comprendrez », nous ­invite-t-il à la fin d’une conversation téléphonique.

Deir Al-Muharraq ? Le « mont du Sacrifice », en arabe. Un autre sanctuaire carmélitain, situé à une vingtaine de kilomètres de Haïfa, au sommet du mont Carmel. Les moines y font mémoire d’un épisode du Premier Livre des Rois où Élie défie et vainc les prophètes du dieu païen Baal avant de les massacrer (1 Rois 18, 19s). Le père de Ena y assure l’accueil des visiteurs de manière régulière.

Pèlerins américains et indiens, visiteurs israéliens, jeunes chrétiens arabes accompagnés de leur prêtre… C’est la Terre sainte dans toute sa diversité qui se presse dans la cour en ce samedi matin, jour de shabbat. Avec son habit de toile brune et ses increvables sandales en cuir, le religieux ne manque pas d’attirer l’attention. Des pèlerines espagnoles se prennent en photo avec lui devant la statue d’un Élie guerrier, épée brandie au-dessus de la tête, et pied posé sur un prophète de Baal. Il s’extirpe habilement de la séance photo et nous emmène sur le toit de l’église.

Le panorama est à couper le souffle. Le carme pointe la direction de la plaine qui s’étend vers le sud : « Là-bas, c’est Megiddo. Dans l’Apocalypse de Jean (16,16), la plaine où elle est située est baptisée Armageddon. C’est le lieu où tous les peuples seront réunis pour le combat final entre le bien et le mal. » Quelques chapitres plus haut (12,7-18), le récit évoque la victoire de saint Michel dans sa bataille céleste contre le dragon, symbole du mal. « Il se peut que ça soit ça, l’origine du lien entre l’archange et la région du mont ­Carmel : cette thématique plus globale de la victoire du bien contre le mal. » L’ancien professeur reprend le dessus : « En fait, ce qu’il faut, c’est trouver l’origine, l’inventeur de cette ligne ! »

L’enquête continue. En ligne cette fois, et en anglais. Les recherches sont plus fructueuses. Un article mentionne les recherches de deux Français, frères de sang, Jean et Lucien Richer. Le premier, professeur de littérature, s’est passionné pour l’étude de la géographie sacrée de la Grèce antique et a montré que les principaux sanctuaires grecs (Delphes, Athènes, Délos) étaient situés sur une même ligne droite. C’est son frère Lucien – lui aussi intéressé par le tellurisme et l’ésotérisme –, qui va allonger la ligne et la connecter à saint Michel. Il défend cette idée dans « L’” Axe” de saint Michel et d’Apollon », un article publié en 1977 dans la revue Atlantis (n° 293, mai-juin 1977), spécialisée dans l’étude de l’héritage des traditions et spiritualités des premières civilisations.

Dans cet article, dont nous avons pu obtenir une copie, Lucien Richer ne liste que cinq monastères dédiés à saint Michel, excluant celui de Symi en Grèce (lire La Croix du 18 août 2023), pour se concentrer sur les cinq sanctuaires dédiés à Apollon. « À la fin de ce voyage à travers toute l’Europe, nous atteignons la côte asiatique en un point non moins remarquable que les précédents : le mont Carmel », écrit-il, avant de faire référence à l’épisode d’Élie et des prophètes du dieu Baal.

« La lutte contre le culte de Baal, dieu des sommets, illustre une fois encore la victoire d’un culte céleste sur une croyance liée à la Terre », justifie simplement l’auteur, reprenant une théorie qu’il développe tout au long de l’article : chaque point de la ligne a été le témoin du « passage d’une croyance liée à la terre à un culte solaire, puis au christianisme ».

Dans les pages précédentes, il dresse aussi un parallèle entre les figures de saint Michel et ­d’Apollon : « Saint Michel terrasse le dragon, comme Apollon terrasse Python (…). Ainsi apparaît clairement le caractère solaire de saint Michel qui, dans son rôle de” chef des milices célestes” peut être considéré comme un avatar d’Apollon. » Saint Georges, Élie, ­Apollon… Et si cette ligne et son point final symbolisaient finalement ­l’universalité de cette thématique qui structure l’humanité : l’éternelle victoire du bien contre le mal et le besoin des hommes de s’associer un protecteur céleste dans ce combat…

Le lien entre l’archange et le mont Carmel pourrait trouver sa source dans la plaine qui entoure le monastère ­carmélitain Deir Al-Muharraq, là où se déroule, dans le livre de l’Apocalypse, le combat final entre le bien et le mal. – Stockstudio – stock.adobe.com

repères

L’archange et l’Orient

Arrivés avec les croisades de la fin du XIIe siècle, des ermites fondent un ordre religieux sur le mont Carmel et se donnent le prophète Élie comme père spirituel. Ils seront expulsés de Terre sainte en 1 291 et n’y reviendront qu’en 1631, s’installant sur l’emplacement actuel du monastère Stella Maris qui, lui, date de 1 836.

Les dévotions à l’archange Michel fleurissent dès le IVe siècle en Orient, et sont ­pratiquées aussi bien par les chrétiens que par les païens et les gnostiques.

Saint Michel est une figure multiforme : guerrier et ­guérisseur, il est aussi ­patron des sources curatives et des fleuves, psychopompe (guide des âmes) et gardien des portes, des villes et des sanctuaires. Une flexibilité qui permet l’adaptation de son culte à différentes réalités.

Près de 35 lieux dédiés à saint Michel ont été recensés aux alentours de Constantinople avant la crise iconoclaste des VIIIe et IXe siècles, qui met fin à l’expansion de ce culte.

(1) La carte a été publiée en 2000 dans La Danse du Dragon, un ouvrage de Paul Broadhurst et Hamish Miller, qui enquête sur la ligne de saint Michel.

 

« Les anges interviennent concrètement dans nos vies »

Recueilli par Christel Juquois

Un ange de la fresque de l’église Sainte-Catherine de Gênes ­(Italie). – Renáta Sedmáková/AdobeStock

Anne Bernet Autrice Faut-il croire aux anges ? Selon Anne Bernet, autrice d’Enquête sur les anges (Artège), ils sont indispensables à la foi et à la vie chrétiennes.

Croire aux anges, n’est-ce pas passé de mode ?

Anne Bernet : C’est une croyance que l’on a délaissée à une époque, sans se rendre compte que si l’on oubliait « l’univers invisible » du Credo, on sapait une partie de la révélation chrétienne. Aujourd’hui l’Église parle à nouveau des anges parce que, dans les années 1990, certains courants du new age s’en sont emparé. Ces courants tiennent sur les anges des discours ésotériques qui n’ont rien de chrétien et qui, pour l’Église, frôlent même le satanisme. Il est donc ­nécessaire qu’elle propose une vision des anges théologiquement juste.

Pourquoi croire aux anges ? Croire au Christ ne suffit-il pas ?

A. B. : Sans les anges, qui sont de purs esprits mais ne sont pas Dieu, il manquerait un degré entre le matériel, qui caractérise l’humain, et le spirituel, propre à Dieu. Cela creuserait un fossé entre le divin et ­l’humain. Certes, le Christ est vrai Dieu et vrai homme, mais il est une des trois personnes divines. D’autre part, même si elle se suffit à elle-même, la trinité a le désir de créer et de se communiquer, et seuls les anges sont capables de répondre pleinement à l’amour de Dieu par leur louange permanente.

Selon l’Église, interviennent-ils dans notre monde ?

A. B. : Oui, sans cesse, discrètement, par petites touches, par suggestions. L’Église enseignait autrefois qu’ils empêchaient les planètes de se télescoper. Je ne suis pas sûre qu’il n’y ait là qu’une vision poétique de leur action. Je crois qu’ils interviennent concrètement, en nous protégeant d’une foule de malheurs. Le père Lamy, curé de La Courneuve au début du XXe siècle, disait qu’ils sont « nos grands frères très aimants ». C’est une vraie consolation de penser qu’ils sont à nos côtés dans un monde qui engendre tant de souffrance et de solitude.

Pourquoi croire en l’existence de mauvais anges ?

A. B. : Dieu leur a laissé la même liberté de choix qu’aux êtres humains : la possibilité de lui préférer autre chose que lui-même. Certains anges se sont préférés à Dieu. Ils ont cherché en eux-mêmes un bonheur et une liberté qu’ils ne pouvaient en réalité pas y trouver. Ne pouvant plus communier dans l’amour divin, ils se sont retrouvés emplis d’une haine à la mesure de l’amour qui les emplissait avant. Ils cherchent à semer le mal en séparant la création de son créateur, pour empêcher les ­humains d’atteindre le bonheur dont eux-mêmes se sont privés.

La foi catholique les tient-elle pour responsables du mal que font les humains ?

A. B. : On ne se laisse jamais influencer par le démon si on ne lui a pas ouvert la porte. La responsabilité humaine est là. Ce qui ouvre la porte au diable, c’est le péché grave, ou certaines imprudences consistant, par exemple, à invoquer des esprits que l’on croit ­bénéfiques, mais qui ne le sont pas et peuvent vous faire tomber sous leur emprise.

Avons-nous tous un ange gardien ?

A. B. : Oui, et il n’est pas besoin d’être chrétien pour cela. Tout être humain reçoit à la naissance un ange qui a pour mission de veiller sur lui, afin qu’il échappe au mal et entre un jour dans le Royaume de Dieu. Il veille à notre croissance spirituelle, mais il arrive aussi qu’il nous protège d’accidents concrets.

Peut-on percevoir son existence et entretenir une vraie relation avec lui ?

A. B. : Saint Camille de Lellis, au XVIe siècle, fut sollicité un soir par un jeune homme dont la grand-mère, lui dit-il, était mourante. Camille se rendit au chevet de la vieille femme. Après avoir reçu les derniers sacrements, celle-ci lui apprit qu’elle vivait seule et n’avait pas de petit-fils. Elle avait simplement prié son ange gardien… Padre Pio, Françoise Romaine ou Don Bosco ont eux aussi perçu leur présence. Mais, pour la plupart, nous devons croire, sans le savoir, que notre ange gardien est là. Ce qui n’empêche pas d’entretenir avec lui une relation de respect et d’affection. Et, si l’on recourt à lui, on s’apercevra souvent que son aide est incontestable et qu’il est toujours là au bon moment.

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